Le blog de bouchabites, une lopette soumise aux vrais hommes

Oui, pendant 12 jours de vacances, j'ai servi de vide couilles et de chiottes à des mecs, à leurs amis, à leurs amis des amis, à des inconnus.. Ca faisait entre 30 et 40 hommes / jour qui ont fouillé mes tripes et ma gorge.

Le tout dans une villa superbe avec piscine bien à l'abri des regards.

12 jours et nuits de rêves pour une lope comme moi.

Je viens de rentrer chez moi, fatigué mais rempli, comblé, dilaté, heureux, je raconterai les détails dans les prochains jours. 

La Lope

Hier soir, mon homme m'a envoyé un de ses potes avec ordre de satisfaire tous ses désirs.

Je vois donc arriver un bel homme bien barraqué, environ 1,75m, brun, cheveux très courts, chemise ouverte et manches courtes qui laissaient apparaître des bras solides et un torse velu et puissants. Il portait une alliance.

D'entrée, il me dit "ce soir et cette nuit tu seras ma femelle et mes chiottes".

"Désappe toi ! "

Je me mets donc nu devant lui qui était encore habillé, j'ai obervé que déjà il bandait vu la forme proéminante de son paquet dans son pantalon.

"Fous toi à 4 pattes".

Je l'entends enlever ses vêtements et d'un coup il m'encule direct et à fond, un gros calibre et bien long...

"Je vais te faire couiner sale pute, t'aime ça hein ?"

Et là, tout à commencé, 3h de baise non stop !! Dans toutes les positions, je gémissais comme une lopette et plus je gémissais, plus ça l'excitait.

"Je vais te faire jouir plusieurs fois comme une bonne femelle".

Je sentais sa bite au fond de mes entrailes, à grands coups de butoirs puissants.

Je sentais ma première jouissance venir, il le sentait aussi et y allait de plus en plus fort, de plus en plus loin.

"Putain de chatte ! Tu m'excites" !

Je jouissais une première fois, longuement en criant, mais lui continuait à m'enculer comme si de rien était.

Quelques minutes plus tard, 2ème jouissance, encore plus forte, j'étais à bout de soufle mais il continuait en changeant de positions.

Au bout de près de 3 heures, 3ème jouissance, lui en sueur, moi au 7 ème ciel, il s'est vidé les couilles en moi dans un cri viril et grave digne d'un lion rugissant.

Il se retire et là j'ai vu sa bite, environ dans les 23 cm ! Je comprenais mieux mes sensations.

Il s'allonge à côté de moi sur le lit et, en reprenant son soufle, il s'endort.

Je me suis blotti à côté de lui et sa respiration profonde, calme, son odeur de mâle ont fait que je me suis aussi endormi ma main caressant son torse musclé et hyper velu.

Au milieu de la nuit, alors que je dormais, je suis réveillé par sa bite qui me pénètre encore, quelle douce sensation !

Il me dit "bouge pas. J'ai envie de pisser, pas envie de me lever, ton cul fera l'affaire, après je te baise".

J'ai senti un liquide chaud remplir mes entrailles, il ne s'arrêtait plus, je sentais sa pisse remonter à l'intérieur de moi. Génial !

Une fois fini, sans se retirer, il a commencé à me baiser violament, sans ménagement pendant environ 1 h, à chaque coup de bite, je sentais sa pisse remonter de plus en plus haut, ça faisait un bruit de flotte d'ailleurs.

Il n'a pas cherché à me faire jouir, c'était son tour, mais c'était tout aussi bon.

Il a éjaculé une nouvelle fois en moi.

"Je me retire, serre ton cul que ça ressorte pas. Je veux que tu gardes mon sperme et ma pisse en toi."

On a discuté un petit moment et vers les 5 heures du mat il me dit "je vais y aller mais avant, j'ai besoin de chier et j'ai toujours pas envie d'aller aux chiottes. Ouvre la bouche !"

Il s'asseoit alors sur mon visage, son anus au niveau de ma bouche ouverte et coincée par son poids, en me tenant les mains.

Je sens alors un énorme étron ferme et chaud me remplir ma bouche, jusqu'à la gorge, pas mauvais au goût du tout. J'en ai même avalé un peu.

Il se relève, me regarde longuement et me dit "putain tu viens de me faire réaliser un de mes fantasmes, lopette, chier dans la gueule d'un mec ! Merci."

Il est alors allé aux toilettes prendre du PQ, il s'est torché et m'a balancé le papier sur mon visage.

D'un côté j'avais mes tripes qui contenaient sa pisse et son sperme, de l'autre, ma bouche était remplie de sa merde.

"Je me rhabille et je me tire mais tu bouges pas tant que je suis pas parti, je veux profiter de ce spectacle jusqu'à la dernière seconde."

Avant de partir, il m'a tapoté gentiment ma cuisse et de me dit "C'est bien qu'il y ait des lopes comme toi pour obéïr aux désirs de vrais mecs. A plus."

Et il est parti, j'étais flatté par ce dernier compliment.

La Lope