Le blog de bouchabites, une lopette soumise aux vrais hommes

Mmmmmmmmmmmmmmm, j'adore le sperme !

La Lope

Un copain rugbyman marié m'invite à voir un match et me fait entrer dans les vestiaires, ces odeurs d'hommes, de sueur, de pieds et autres m'excitaient terriblement. De plus, la vue de tous ces corps musclés et dénudés me faisaient trembler d'émotion. Lui, s'en est aperçu et m'a fait signe de m'asseoir, il s'est aussi assis à côté de moi et faisait semblant de m'expliquer les règles du jeu pendant que les autres prenaient leur douche, se rhabillaient et partaient.

Une fois seuls, il verrouille le vestiaire et m'ordonne:

"Fous toi à poil"!

Je m'éxécute encore tout tremblant d'excitation, lui était encore dans sa tenue de match. 

"Allonge-toi sur le sol!"

Il enlève alors ses chaussures avec cramponds et s'essuie ses pieds transpirants sur ma figure, je sentais cette odeur que j'adore : celle des pieds bien odorants.

Ensuite, il se place face à moi et m'écarte les jambes, il m'écrase les couilles avec ses pieds, sort sa bite et me pisse dessus direct.

"Ouvre la bouche"

Il visait ma gorge et ma bouche faisait le bruit d'une cuvette qaund un mec pisse.

"Avale!"

J'ai ainsi bu sa pisse chaude, abondante  et légèrement salée.

Il m'a ensuite relevé, mis à 4 pattes et m'a pénétré hard d'un seul coup. Une bête de muscles, ses couilles cognaient contre mon cul. Il y allait à fond et à un rythme effréné, comme je couinais telle une truie, il m'a mis une de ses chaussettes puantes dans ma bouche en guise de baillon et il a continué à m'enculer comme une bête.

"T'aimes ça hein sale pute ?"

"Je vais te donner ce que tu veux"

Et il a joui dans mon cul ouvert, je sentais sa semence remplir mes entrailles dans un râle viril qui m'a fait jouir.

"Rhabille toi, je vais prendre ma douche. Toi non, tu restes souillé."

On est allé rejoindre ses potes après, je sentais et avais le goût de sa pisse, l'odeur de ses pieds dans les narines et son sperme dans mon cul.

Je lui appartenais, pendant tout le reste de la soirée.

On s'est revu plusieurs fois après...

La Lope