Le blog de bouchabites, une lopette soumise aux vrais hommes

Se faire enculer, c'est déjà bien: ce moment où une bonne bite bien dure rentre en force et te dilate l'anus...

Là tu te dis entre douleurs et gémissements de plaisir, "je ne suis plus un homme"!

Toi qui n'avait connu que la branlette, tu découvres le plaisir de la femelle, le complément du mâle et c'est là que j'ai compris que je n'étais pas un homme: j'étais devenu un enculé...

Une lopette...

Puis le fist! Je me souviens de la première fois: 6h!!! Oui 6h à coups de poppers et de motivation de cet homme aux mains et poings puissants et pour cause, il était boxeur...

Il a pris son temps, j'étais sur un sling, et il me dilatait, de plus en plus, qaund je disais stop, il me baisait avec sa bite et il recommençait...

6 heures...

A un moment, alors qu'il entrait en force son poing fermé, j'ai senti 2 craquements : les portes anales et rectales avaient cédé et son bras est rentré jusqu'au coude.

Je hurlais, de plaisir, de douleurs aussi, de peur : ce mec avait son bras dans mes tripes! J'étais à lui et il en a profité! Des vas et vients que je croyais qu'il aller me sortir toutes mes tripes, avec les effets ventouses et le bruit!... Toutes mes entrailles étaient à lui! Il aurait pu m'éviscérer tel un poulet et me cuisiner! 

Alors oui, je dois dire que c'est grâce à ce mec que j'ai perdu ma masculinité!

Il parait que le fantasme de la castration est courant chez les hommes, honnêtement je n'ai jamais connu un homme qui voulait être castré, peut-être parce que je ne fréquente que des actifs dominateurs. Mais le sujet est venu plusieurs fois dans les discussions, non pas pour eux mais pour moi ! Beaucoup ont évoqué ce fantasme de me voir et me baiser en eunuque, voire la totale avec plus rien entre les jambes.

Je me souviens même d'un gars qui rêvait de me faire tout couper et me faire placer un vagin. 

Ces pratiques sont autorisées dans certains pays, même si on ne demande pas de changer de sexe légalement.

Il est vrai que ma bite et mes couilles ne me servent pas à grand chose, hormis pisser debout, avoir un paquet dans les pantalons et pouvoir me mettre à poil dans un vestiaires d'hommes sans regards choqués ou interrogateurs. A part ça ? Ben nada, je jouis analement en me faisant mettre bien profond et mon service 3 pièces reste le plus souvent enfermé dans un jockstrap, car les vrais mecs ne s'intéressent pas à la bite de la lope qu'ils baisent, c'est "soit tu jouis du cul", "soit tu jouis pas", ils en ont rien à foutre, eux cherchent à féconder par haut ou par derrière et je prends tout.

De nombreux mecs sont aussi excités par les seins et, comme ils me l'ont dit plusieurs fois, "si t'as plus de couilles, t'auras les seins qui pousseront" et ça, ça les excite.

Ceci-dit, je ne cherche pas à devenir une femme, ce serait offenser leur beauté, mais rester un ex-homme-lope, sans attribut virils, me tente assez et collerait assez bien à mon état de lopette féminisée ou plutôt démasculinisée.

Seulement voilà, il ne faut pas se tromper, car une fois coupé, c'est coupé définitif, pas question d'avoir le moindre regret après.

Alors, en l'état actuel des choses où je n'ai encore que des plans culs sans réel suivi, j'attends de voir ce que l'avenir me réserve : si je tombe sur un homme sérieux qui me veut à demeure et uniquement à lui, peut-être, s'il le souhaite, qu'un jour on fera ce voyage dans ces pays d'où je reviendrais allégé de quelques grammes entre les cuisses et, j'ai envie de dire, libre !

Le paquet d'un vrai mec :

Le même pantalon chez un qui a eu la totale :

On voit la différence...

A poil, la totale donnerait ça :

Version eunuque :

Vous avez fait votre choix ? 

La Lope

Les hommes, les vrais, ne se laissent pas faire face à un autre homme: il y a toujours, plus ou moins, un rapport de force, une sorte de combat animal de mâles dominants, un rituel.

Etant une vraie lopette, je nai pas ce problème : les mecs comprennent vte à qui ils ont à faire, ils savent qu'ils ont déjà "gagné" et me considèrent non plus comme un rival, mais comme une femelle à saillir, Je leur appartiens d'emblée et ils deviennent même protecteurs à mon égard...

Bon sang que j'aime ça !

La Lope